Épisode #40 : Blumhouse fête ses 15 ans - Black Phone 2 et Five Nights At Freddy's 2 à l’honneur.

Des notes d'épisodes

Blumhouse célèbre ses 15 ans ! Fondé par Jason Blum, ce studio a redéfini le cinéma d’horreur en misant sur des concepts audacieux et une tension psychologique qui marque les esprits. Pour l'occasion, Marie Palot, Terry LTAM et Joe Hume reviennent sur l'histoire du studio et son savoir-faire unique, avant de présenter ses deux dernières productions : Black Phone 2, sorti le 15 octobre dans les salles obscures, et Five Nights at Freddy’s 2, attendu le 3 décembre.
Ensemble, ils analysent comment Blumhouse est devenu une référence incontournable du cinéma d'horreur, capable de transformer des idées originales en phénomènes culturels. De Invisible Man à Get Out, en passant par ses succès récents, le studio continue de prouver qu’il est le maître du frisson moderne.

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00:00:12: J'ai fait un cauchemar.

00:00:13: Il est très exactement sept heures et six minutes.

00:00:15: Il vous reste donc huit heures, cinquante-quatre minutes pour méditer sur vos fautes.

00:00:20: Pas de question.

00:00:22: C'est la fin du cinéma.

00:00:26: Je crois que le cinéma existera toujours.

00:00:28: Breakfast.

00:00:28: Je n'en ai pas dans le cinéma.

00:00:39: Breakfast.

00:00:40: Ciné.

00:00:41: Club.

00:00:46: Breakfast Ciné Club.

00:00:47: Bonjour à toutes et à tous.

00:00:49: Soyez les bienvenus au

00:00:50: BCC,

00:00:52: le Breakfast Ciné Club.

00:00:54: Les fêtes d'Halloween battent leur plein.

00:00:56: La saison se prête donc à un épisode spécial.

00:00:59: Petosh.

00:01:00: aujourd'hui on va vous parler de Petosh.

00:01:02: il a dit

00:01:03: les Petosh.

00:01:04: voilà je suis une personne de son âge.

00:01:07: on va vous parler de Black Phone II de Five Nights at Freddy's II et ces deux films qu'ont-ils en commun ?

00:01:14: un mec, Jason Bloom, et son studio, Blue Mouse Production, qui célèbre cette année ces quinze ans.

00:01:19: On va donc aussi se replonger un petit peu dans l'histoire de cette maison de l'horreur, devenue, depuis toutes ces années, l'un des pourvoyeurs essentiels de l'horreur et du fantastique moderne, pour plonger dans ce généreux sommaire.

00:01:33: J'ai à mes côtés les indispensables, Marie Palot et Théorie LTM.

00:01:37: Bonjour à vous.

00:01:38: Ça va,

00:01:39: Théorie.

00:01:39: La frappe quand on est là.

00:01:40: Voilà.

00:01:43: trop cool quand j'ai vu qu'on parlait de ça aujourd'hui j'étais genre ouais trop bien

00:01:47: j'ai deux salles de ambiance littéralement à ma gauche et à ma droite.

00:01:50: terry donc qui effectivement une fois de plus a pris sur lui pour ce podcast puisque les films d'horreur le terrifie.

00:01:55: mais ne perdons pas de temps car le programme est chargé.

00:01:57: le breakfast in the club spécial bloom house c'est parti.

00:02:06: Alors, commençons par le commencement, par Bloom House.

00:02:08: Donc Bloom House, c'est la boîte de production de Jason Bloom, qu'il a fondée en indépendant, après quelques années d'existence, Bloom House s'associe à Universal.

00:02:18: On est en two-mille-trèses.

00:02:20: Et la philosophie de Bloom House, elle est assez simple.

00:02:23: Des films à budget modeste alloués à des cinéastes qui, en contrepartie, ont carte blanche sur leur film.

00:02:29: Une philosophie qui s'est avérée plusieurs fois payante, puisque Bloom House, c'est quand même une collection de films qui, pour certains... font partie des plus rentables de l'histoire du cinéma.

00:02:38: On pense évidemment à Paranormal Activity qui figure tout de même en haut de cette catégorie.

00:02:42: Paranormal Activity qui résume à lui seul le concept Bloom House.

00:02:46: Un concept horrifique, simple, mais hyper efficace, exploité au maximum de ses capacités pour un coup dérisoire et une rentabilité au max.

00:02:55: Le premier Paranormal Activity, c'est quinze mille dollars de budget, puis

00:02:58: deux cent

00:02:59: mille dollars en post-prod et des recettes mondiales qui approchent les deux cent millions de dollars.

00:03:03: Donc on est sur une bonne OP.

00:03:06: Selon Jason Bloom, lui-même, d'ailleurs, un Paranormal Activity doit beaucoup au projet Blair Witch.

00:03:11: Souvenez-vous à la fin des années ninety-dix quand Jason Blum bossait pour... Ben non, on n'en ai évidemment pas, j'ai complètement oublié.

00:03:19: A la fin des années nineties, Bloom, il bossait pour Miramax.

00:03:21: Il n'avait pas encore monté Bloom House et il était au marché du film et il est passé à côté de Blair Woods, c'est-à-dire qu'il l'a vu.

00:03:27: Il n'a pas forcément senti le potentiel sur le moment et il a vu ensuite ce film devenir, à l'époque, le plus rentable de l'histoire.

00:03:34: Donc, par un normal activity, il lui a en quelque sorte permis de rattraper cette erreur et c'est finalement le projet qui a véritablement fait décoller sa boîte.

00:03:41: Marie Théry, c'est quoi votre rapport à Bloom House ?

00:03:44: Quelles sont les films du film ?

00:03:45: studio qui nous ont le plus marqués.

00:03:47: Bah vas-y Terri,

00:03:48: comment le monde ?

00:03:49: Non mais franchement à la base les films d'horreur.

00:03:52: et moi ça fonctionne pas des masses, moi je suis plutôt le genre de personne qui va allumer toutes les lumières dès qu'il regarde Harry Potter, vraiment je flippe totalement.

00:04:00: Mais Blue Mouse c'est quand même un nom que j'ai appris à respecter, même quand j'allais pas forcément voir les films, je savais que c'était eux derrière.

00:04:07: Et ça je pense que ça montre qu'ils ont vraiment une force c'est d'être un vrai label.

00:04:12: Et ce que j'aime c'est qu'ils ont réussi à mélanger un petit peu ce cinéma d'auteur et ce frisson grand public.

00:04:18: alors bon bah tu as un get out ou tu as un whiplash qui ne sont pas forcément des films d'horreur mais qui ont réussi à leur manière à me mettre des sueurs froids de monumentale.

00:04:26: bien que get out je le mets pas en film d'horreur mais

00:04:29: pas loin quand

00:04:30: même.

00:04:30: il y a des séquences

00:04:32: un peu de l'horreur psychologique

00:04:37: mais du coup voilà j'ai toujours eu un peu peur en regardant un film blue mouse mais je sais que c'est une peur qui qui est contrôlé.

00:04:44: C'est un studio qui sait très bien où il t'emmène.

00:04:47: Et même si j'ai peur, je dois avouer que j'admire la maîtrise.

00:04:50: Et ils ont fait aussi Invisible Men que j'avais absolument kiffé.

00:04:55: Même si j'avais hurlé plusieurs fois dans la salle de cinéma au point où mon voisin était parti, il avait changé place.

00:05:03: Marie, tu n'étais pas du genre à partir pendant les films Blumhouse ?

00:05:06: Non.

00:05:07: Sachez pour l'anecdote que j'adorais moins les films d'or.

00:05:10: Donc c'était toujours un plaisir.

00:05:11: Après, j'ai eu un enfant.

00:05:13: Et

00:05:14: les choses ont changé.

00:05:15: Et il y a des trucs que tu ne vois plus de la même manière.

00:05:18: Et du

00:05:18: coup, à ta question de savoir s'il y a un film qui m'a marqué, évidemment il y en a plein chez Blue Mouse qui m'ont marqué, mais si je dois en choisir un, pour être honnête, c'est Sinister.

00:05:29: Mais qui fouille ?

00:05:30: Qui

00:05:31: fouille son grenier comme ça ?

00:05:32: Bah c'est les gens qui veulent participer à un trésor dans votre grenier, tu sais.

00:05:35: Non,

00:05:36: vous laissez votre grenier comme il est.

00:05:37: Si vous trouvez des choses dedans, vous ne les touchez pas.

00:05:40: Parce que c'est le début de quelque chose que... Je m'étais

00:05:42: arrêté à l'abandonnance personnellement, la situation.

00:05:44: Oui

00:05:44: bah, non,

00:05:45: il n'y a pas le film.

00:05:45: Ça me suffit, j'ai fait...

00:05:46: OK !

00:05:47: Et déjà, en fait, je savais, les enfants en s'englantait, c'est pas mon truc.

00:05:52: Et j'avais pas encore d'enfants à cette époque là, donc c'est un film, je ne peux plus le revoir.

00:05:55: Ah, tu peux plus revoir, si c'est ça.

00:05:56: Alors que pourtant, tu t'en souviens très bien.

00:05:58: Je m'en souviens parfait.

00:05:59: pas besoin de

00:05:59: le revoir.

00:06:00: C'est

00:06:00: un loyer gratuit dans ma tête.

00:06:02: Et comme vous le disiez, Blue Mouse, c'est un label, c'est un concept qui marche.

00:06:06: Ils ont réussi en fait à transformer la peur en marque.

00:06:09: C'est vraiment... Et pour l'occasion, donc du coup, j'ai vu d'autres films qu'on a cités, Get Out, Whiplash, Final Night at Freddy's, parce que même si c'est un film d'horreur, il y a un jeu vidéo derrière, on y reviendra, et il y a un appétit particulier derrière.

00:06:24: Donc je ne suis pas allé dans l'horreur total non plus, totale l'acheter.

00:06:27: Un appétit

00:06:27: particulier.

00:06:28: quand même derrière moi tu défrasses comme ça mais on est où là ?

00:06:32: Et du coup c'est marrant parce que quand on pense studio d'horreur on imagine un truc hyper underground hyper marginal.

00:06:38: mais blumaz je trouve qu'ils ont réussi un miracle économique derrière le genre et je trouve qu'ils ont même créé un modèle start-up du cinéma.

00:06:48: voilà on arrive on a une idée on investit peu comme tu le disais puis d'un coup ça devient un monstre économique ça cartonne et en plus c'est bien fait.

00:06:56: donc je trouve que c'est un peu la scie comme valait version l'enfer dedans.

00:06:59: Ce qui est certain c'est qu'aujourd'hui Blumhouse est un nom qui compte dans le paysage du cinéma de genre mais pas seulement comme tu le disais Marie.

00:07:08: On rappelle qu'on doit aussi au studio la révélation d'un réalisateur comme Damien Chazelle avec We Plash effectivement.

00:07:13: D'ailleurs Jason Blum dit qu'il n'a jamais vu La La Land figurez-vous parce qu'après le succès de We Plash.

00:07:19: Damien Chazelle n'a pas souhaité reconduire avec Blumhouse pour La La Land et ça l'a tellement saoulé qu'il a boycoté le film.

00:07:25: et il dit si jamais un jour.

00:07:26: un de mes films, Blue Mouse, reçoit un Oscar.

00:07:30: Là, je regarderai la langue de ces premiers.

00:07:33: Ah, mais j'aime bien, j'aime bien.

00:07:35: Moi, je

00:07:35: comprends.

00:07:36: J'aime bien la thème,

00:07:37: j'aime bien.

00:07:38: En plus, il le

00:07:39: dit vraiment.

00:07:40: Il le dit vraiment dans plein d'interviews et tout.

00:07:42: Il s'en cache pas, il a bien raison.

00:07:43: La révélation de Jordan Pee aussi avec Get Out.

00:07:46: Donc tout ça, c'est du sérieux.

00:07:48: Ce qui va nous amener à l'actualité du studio avec le film de Black Phone II, qui est actuellement en salle, dont on va vous parler tout de suite, mais juste avant, on va s'écouter un petit extrait.

00:08:35: Alors nous voilà bien dans l'ambiance, ils ont réussi quand même à faire des jumpscares.

00:08:39: Non mais il y a un jumpscares même dans l'extrait.

00:08:41: les gars, vous abusez aussi.

00:08:43: Sans les images, on arrive à faire sursauter Terry Sebo.

00:08:45: Alors The Black Phone II, c'est quoi l'histoire ?

00:08:48: On retrouve les personnages principaux du premier film, donc Finn et sa petite sœur Gwen qui tentent de vivre avec le traumatisme qui les suit depuis les événements du premier film.

00:08:57: Finn avait été enlevé par l'attrapeur, un serial killer tueur d'enfant sympa auquel il avait échappé.

00:09:04: rêve prémonitoire de sasseur Gwen et au fantôme des précédentes victimes de l'attrapeur avec lesquelles Finn entrait en contact via un vieux téléphone mural à cadran noir.

00:09:16: Donc dans The Black Phone II, Finn, Gwen.

00:09:19: Et son ami Ernesto se retrouve coincé, en pleine tempête de neige, sur le site d'un camp de vacances catholiques.

00:09:26: Que sont-ils allés faire dans cette galère ?

00:09:28: Me demandez !

00:09:30: Ils ont été attirés sur place, figurez-vous, par un des rêves de Gwen, justement dans lequel elle entendait sa mère décéder l'appeler.

00:09:37: Mais

00:09:37: c'est une excellente idée

00:09:39: !

00:09:39: Allons dans un camp chrétien,

00:09:41: parce qu'un

00:09:41: mort m'a passé un coup de fil !

00:09:42: Ma sœur me dit, y'a eu ça, je lui fais « Hé, t'es en tes solos, ma mase

00:09:46: !

00:09:46: ».

00:09:46: Bisous, au revoir

00:09:47: !

00:09:48: Très vite, le trio va découvrir que l'histoire de l'attrapeur et celle du camp de vacances et celle de leur maman sont en fait étroitement liées et que bien que Fine ait tué l'attrapeur, le tueur n'est peut-être pas totalement disparu.

00:10:01: Marie, qu'en as-tu pensé ?

00:10:04: Bon, comment dirais-je ?

00:10:06: Déjà, est-ce une vraie bonne idée ?

00:10:09: Quelqu'un vous dit que j'ai fait un rêve ?

00:10:12: On parle des bases du cinéma d'horreur, c'est-à-dire les mauvaises idées, c'est ce qui fabrique les films d'horreur.

00:10:17: Les mauvaises idées,

00:10:17: et en plus avec une mauvaise météo, c'est-à-dire qu'il n'y avait

00:10:21: rien,

00:10:23: comme le premier remet, encore une fois, des enfants en danger.

00:10:28: Ils sont abîmés, donc déjà émotionnellement, ce que Hollywood avait quand même mis de côté, ils sont aussi abîmés.

00:10:33: vraiment très abîmés.

00:10:35: Ça a été très pénible, je tiens à le dire.

00:10:37: On parle d'un gamin séquestré d'enfants assassinés qui reviennent en télévivants, donc dans le I et aussi dans le II.

00:10:44: Je me suis demandé, est-ce qu'on n'assise pas aussi au retour d'un cinéma américain qui n'a plus part justement d'abîmer ces enfants.

00:10:52: Pendant longtemps, ils étaient intouchables au cinéma.

00:10:54: On a eu droit à l'exorciste, à Paul Targuest, à The Omen, mais après une très grosse... période, merci Montessori, ils étaient

00:11:04: témoins,

00:11:08: ils étaient symboles d'espoir, d'innocence, etc.

00:11:11: Là, on revient à quelque chose d'hyperfrontal et du coup c'est intéressant.

00:11:14: Ce n'est pas de la provocation gratuite dans Black Phone II puisque comme dans le premier, les gamins, ils ne sont pas juste des victimes, ils sont vraiment moteurs de l'histoire.

00:11:22: C'est eux qui résistent, c'est eux qui survivent ou pas, qui affrontent littéralement leur démon.

00:11:28: C'est presque en fait une mé... à fort de la résignance Il a un mot.

00:11:31: Il a un mot.

00:11:32: Je vais rebondir à ce que tu disais.

00:11:34: Ça m'a pas mal évoqué les films aussi dépouvantes du cinéma espagnol, fin des années quatre-vingt-dix, début de deux mille, c'est les premiers Guillermo del Toro, les rois Antonio Bayona, ou même le sixième sens d'une certaine manière.

00:11:47: Ou en fait, les revenants d'enfants viennent pour aider à faire justice.

00:11:52: Et j'ai retrouvé un petit peu de ça aussi dans Black Phone Un et deux.

00:11:55: Totalement.

00:11:56: Totalement.

00:11:56: Sauf qu'ils avaient quand même des visages entiers.

00:12:01: Donc il y a quelque chose de dérangeant sans que le film ne cherche pas à nous rassurer à aucun moment.

00:12:06: On n'est pas du tout dans la nostalgie des années eighty-un façon célèbre série sur une célèbre plateforme.

00:12:12: C'est plus brut, c'est plus sale, c'est plus émotionnel.

00:12:14: Donc on a un Blue Mouse et des Rickson qui n'idéalisent pas du tout l'enfance.

00:12:19: Il la filme comme un territoire hyper fragile comme cette glace en deux coups de marteau et se brise.

00:12:24: Le mal peut s'infiltrer partout.

00:12:26: Sans qu'on comprenne pourquoi.

00:12:27: Il balance des boules de neige.

00:12:29: Oui, sur

00:12:30: une cabine.

00:12:30: Une

00:12:30: tête de bonhomme de neige.

00:12:32: Ah ouais, ça te saigne horrible.

00:12:34: Et il y a une vraie filiation aussi littéraire.

00:12:36: L'histoire, elle vient d'une nouvelle de Joe Hill, l'office de Stephen King.

00:12:39: King, il a toujours été un des rares auteurs à oser blesser ses personnages enfants.

00:12:44: Dans It, dans Carrie, dans Firestarter, les gosses en fait chez King sont des éponges à trop bas.

00:12:49: Oui, complètement.

00:12:50: C'est pas que chez King dans la vie.

00:12:54: Et ce qui change, c'est que Black du coup le fait quand même avec une certaine empathie, le film.

00:12:58: ils n'ont pas juste la souffrance pour choquer, comme tu disais c'est pour aussi la transcendée pour refaire justice, c'est presque un film de guérison à travers la peur et ça fait du bien.

00:13:06: Théry.

00:13:07: Ouais

00:13:07: de guérison, alors c'est quoi moi je vais être honnête, clairement je l'ai pas vu là, la guérison voilà, moi ce qui me concerne.

00:13:13: T'es

00:13:13: blessé toi.

00:13:14: Oui totalement, et c'est quoi, je savais que j'allais souffrir en regardant ces deux films, parce que tu te doutes bien que Black Phone I je l'avais pas vu.

00:13:20: Donc t'as enchaîné les deux.

00:13:21: J'ai enchaîné les deux.

00:13:24: T'as

00:13:24: vraiment aimé celle-là.

00:13:25: Je les ai regardés un peu comme une série, tu sais.

00:13:27: Et du coup, j'ai regardé le premier film à la maison, le second au cinéma et je me suis surpris.

00:13:34: Non,

00:13:35: franchement,

00:13:37: on a créé un monstre.

00:13:39: Je ne sais pas ce qui s'est passé, mais j'ai vraiment eu un plaisir à les voir coup sur coup.

00:13:43: Comme je disais, voilà, un peu l'impression de regarder une série tellement, finalement, les deux films se répondent dans le ton, dans les dialogues, dans les symboles.

00:13:53: Le réalisateur Scott Derrickson, qui avait aussi fait Doctor Strange.

00:13:56: Donc forcément, il y avait un truc aussi qui me parlait.

00:13:58: Et pour une fois, vraiment, j'ai aimé, il a prouvé encore une fois qu'il s'est exactement opposé.

00:14:03: sa caméra.

00:14:04: C'est précis, c'est nerveux, c'est hyper efficace, le montage fonctionne super bien, notamment avec les séquences de rêve, avec des flashbacks, notamment dans les séquences de communication en différé, ce qui te permet d'avoir des moments un peu de « oh c'est ça qu'ils voulaient dire, c'est ça ».

00:14:19: et donc moi ça m'a vraiment fait kiffer dans le principe un peu de l'enquête policière, ça m'a touché, même si je flippais toutes les... trente secondes, mais globalement, tu sais qu'il va y avoir un truc qui va pas être bien.

00:14:32: Et puis les jumpscares,

00:14:33: tu

00:14:33: sais aussi, tu te sais qu'un moment quand elle baisse la tête sous le lit, il y a un bail, mais elle y va quand même, et tu regardes

00:14:39: quand même.

00:14:39: Mais quand elle regarde sous le premier lit, le premier lit, il y a pas de bail.

00:14:42: Donc tu te dis, ah finalement... Oui mais

00:14:43: tu sais qu'il n'y aura

00:14:44: rien dans le

00:14:44: premier lit, tu sais que c'est pas le premier lit, le problème.

00:14:48: Et tu sais que ce sera le deuxième.

00:14:49: Et en fait justement, tu fonctionnes avec cette réalisation, avec la caméra, tu la suis, tu en... anticipe ce qui va se passer et finalement tu kiffes.

00:14:58: Et donc c'est vraiment ce qui s'est passé pour moi.

00:15:01: Au point où justement tiens par rapport au réalisateur Scott Derrickson, je me suis demandé, je me suis dit, oh purée, j'aurais bien aimé voir ce qu'il aurait donné dans Doctor Strange and the Multiverse of Madness, qui était dans un délire beaucoup plus horrifique également.

00:15:14: Alors bon, il y a eu une belle réalisation également sur ce film.

00:15:16: Mais j'aurais voulu voir ce que ça aurait donné, peut-être quelque chose de plus angoissant encore.

00:15:20: Et donc c'était vraiment un moment, une sorte de peur.

00:15:25: qui me va, une peur qui me donne un petit sourire à la fin.

00:15:32: Alors côté acteur, rien à dire, je trouve que le duo, Frère-Sœur, il fonctionne toujours aussi bien.

00:15:37: Fin, il a clairement changé.

00:15:38: Il est plus violent, il est plus nerveux, presque à l'image de son père.

00:15:42: Il est un peu comme ça, il se met à fumer.

00:15:44: C'est quelqu'un de différent ?

00:15:46: Et la mère, elle a pris le côté spirituel Mystique Show.

00:15:51: Elle a pris le lead.

00:15:52: Oui, clairement.

00:15:54: Je vais prendre le lead là.

00:15:55: Mais déjà, elle était

00:15:56: géniale dans le premier.

00:15:57: Elle était géniale.

00:15:58: Je lui ai dit que j'aimerais bien en voir un petit peu plus de cette sœur, de cette gueule.

00:16:01: Et après, derrière, dans le deux, il m'ont écouté.

00:16:04: Et du coup, je me suis dit que c'est vraiment, vraiment sympa.

00:16:06: Visuellement, j'ai adoré le grain, la pellicule, l'ambiance glacée, les images jaunâtres, des sous-sols, les murs qui respirent presque, la sonnerie du téléphone.

00:16:15: qui angoisse les genres vraiment de ouf.

00:16:18: D'ailleurs, finalement, il y a un truc qui c'est qu'elle évolue cette sonnerie.

00:16:22: C'est ça.

00:16:24: On avance pas.

00:16:25: Mais

00:16:27: moi, ce que j'aime, c'est justement qu'il y a un moment, c'est plus que le téléphone, c'est même plus juste la clé pour comprendre ce qui se passe, c'est toute la porte.

00:16:33: C'est vraiment un doorway pour le monde spirituel, pour je ne sais quoi.

00:16:38: Et ça fait que tu finis par kiffer un petit peu la sanerie.

00:16:40: Quand ça s'entend, tu dis ok, on va comprendre un petit peu plus ce qui se passe dans cette enquête.

00:16:46: au début il est là comme ça et tu dis mais non copain faut que tu t'écroches faut y aller faut les aider.

00:16:50: et puis après quand lui il veut parler et qu'il lui dit ouais ouais de façon moi je t'ai tué je t'ai genre ouais c'est ça j'étais vraiment avec lui je voulais faire ce bagarre et après un peu plus tard quand il y va je vais pas spoiler mais j'étais trop avec lui j'étais trop avec Finn j'étais trop avec Gwen.

00:17:03: je disais trop.

00:17:04: à un moment elle a bref

00:17:07: j'ai vraiment

00:17:07: vraiment kiffé.

00:17:08: alors c'est dérangeant.

00:17:10: C'est dérangeant, mais c'est un film qui est vrai là, qui est maîtrisé.

00:17:13: Alors, je n'aime pas les films d'horreur, je ne vais pas me mettre à dire autre chose, mais là, j'ai flippé, j'ai kiffé.

00:17:19: Du coup, finalement, c'est un très bon film.

00:17:21: J'adore les films d'horreur.

00:17:22: Ça, c'est un secret pour personne.

00:17:25: Je suis souvent assez client des productions blue mass.

00:17:29: J'avais beaucoup aimé leur reboot de Halloween par David Gordon Green, surtout le premier que j'avais adoré en salle, que j'avais eu la chance de présenter et donc de tailler le petit bout de gras avec Jimmy Dickertis.

00:17:40: C'est quand même un très, très grand souvenir.

00:17:41: Stilé, stilé.

00:17:42: J'ai complètement adhéré aux rélectures de l'homme invisible, plus récemment de Wolfman de Lee Wanel.

00:17:49: Là aussi, un réalisateur qui sort clairement de l'écurie Blumhouse.

00:17:53: J'adore Incidus, j'avais aimé le premier blackphone d'une certaine manière, mais j'y allais quand même un petit peu sur mes gardes au final parce que je trouvais que ce premier blackphone, il était un peu, j'avais trouvé le cul entre deux chaises, excusez-moi l'expression, entre thriller psychologique et film fantastique.

00:18:10: Et là... Clairement, on a affaire à un film d'épouvante fantastique.

00:18:15: avec The Black Phone II, et c'est ça qui m'a vraiment convaincu.

00:18:18: Le personnage de Gwen devient, comme tu le disais, central.

00:18:22: Ces rêves, c'est un élément clé du récit.

00:18:24: Le tueur, il est désormais beaucoup plus arrangé du côté de Freddy Krueger.

00:18:28: D'ailleurs, on voit clairement des références qui m'ont fait jubiler, hein, dans The Black Phone II à la saga de Freddy.

00:18:35: Comme lui, il agit dans les rêves de ses victimes cette fois-ci complètement.

00:18:39: Son aspect est beaucoup plus démoniaque.

00:18:41: que dans le premier film, donc désolé, si vous êtes fan de Ethan Hawke, ils l'ont quand même bien rabagé sur ce deuxième

00:18:48: film.

00:18:48: Il

00:18:50: a les toutes petites chevilles.

00:18:51: Et puis, il y a ce lieu où se déroule l'action, ce camp de vacances qui est au bord d'un lac gelé en cercle de montagnes enneigés, impossible de pas penser à Shining.

00:19:00: Là encore, le roman de Stephen King, pas le film de Kubrick.

00:19:04: Et je sais pas si c'est intentionnel, mais comme tu le disais, Black Phone, c'est quand même adapté d'une nouvelle de Joe Hill qui est... fils de Stephen King, on peut quand même... supposé que de plus deux égale quatre.

00:19:15: J'ai trouvé que la réalisation de Scott Derexson était beaucoup plus solide dans son ensemble, plus assumé, filmé sur pellicule effectivement avec un vrai grain qui est complètement raccord avec l'histoire qui se déroule en deux ans.

00:19:26: On avait naissance, je voulais faire le calcul.

00:19:28: On a le droit à quelques jumps qui ont bien senti.

00:19:30: Et puis surtout dans l'ensemble, je trouve que c'est beaucoup plus gore effectivement que le premier.

00:19:35: C'est quand même assez frontal comme horreur.

00:19:38: Et moi, ça me plaît quand on assume de faire dans l'horreur pure.

00:19:41: Blackphone II, c'est validé en ce qui me concerne également.

00:19:45: Maintenant, on va parler brièvement d'une autre suite particulièrement attendue, Five Nights at Freddy's II qui sortira le trois décembre.

00:19:53: Vous voulez un petit avant-goût ?

00:19:54: Tout de suite un extrait de la bande-annonce.

00:20:08: Ça

00:20:11: lui donne de faux espoir.

00:20:13: Est-ce que l'un d'entre vous peut m'entendre ?

00:20:30: Enfin,

00:20:33: nous avions parlé de Five Nights at Freddy's le premier du nom, adaptation d'une série de jeux vidéo horrifiques.

00:20:40: Marie, est-ce que tu peux nous rappeler un petit peu les origines de cette franchise?

00:20:43: ?

00:20:43: Tout

00:20:43: à fait.

00:20:44: Alors Five Nights at Freddy's, c'est un cas absolument passionnant puisqu'à la base, c'est un tout... tout petit jeu sorti en deux mille quatorze.

00:20:51: Vraiment, je pèse mes mots, tout petit jeu fait par un seul créateur Scott Cawthon.

00:20:56: On y joue donc un gardien de nuit dans une pizzeria, obligé de surveiller les caméras pendant que les mascottes animatroniques prennent vie pour le tuer, tout simplement.

00:21:05: Voilà, rien de plus simple, une nuit tranquille dans une

00:21:07: pizzeria.

00:21:09: Et pourtant, ça attachait vraiment toute une génération de gens qui consommaient notamment des vidéos sur YouTube.

00:21:15: Parce que c'est un jeu qui est devenu un phénomène.

00:21:18: sur ses plateformes, aussi sur Twitch.

00:21:20: Il y a des millions et des millions de gens qui ont découvert ces peluches tueuses en regardant leur stream art préféré, hurlée de peur, comme le créateur avait glissé.

00:21:28: en plus.

00:21:29: Plein d'indices de se créer, les fans se sont mis à théoriser.

00:21:32: Il y a eu un vrai lore qui s'est développé autour de cet univers, à chercher des codes cachés.

00:21:37: C'est devenu une sorte d'enquête collective sur Internet, un vrai jeu de piste communautaire.

00:21:42: Alors forcément, quand Blumaz adapte ça au cinéma, le risque, il est énorme en fait.

00:21:47: Parce que comment garder la tension du jeu sans trahir finalement son ADN et son univers ?

00:21:53: Résultat.

00:21:53: Carton plein, le film tourné pour vingt millions en a rapporté presque trois cents, le public a adoré.

00:21:59: parce que justement, ça respecte le lore, ça respecte les visuels et aussi les jumpscares, c'est vraiment beaucoup trop rare du coup, il faut le souligner, combien de fois on a pris nos licences préférées pour les... Là, ils l'ont respecté, ça fait du bien.

00:22:15: Et petit détail génial, les animatroniques du film, on en avait parlé à l'époque.

00:22:19: Ils ont été fabriqués par les équipes de Jim Monson.

00:22:22: Donc oui, les mopettes sont officiellement devenues flippants.

00:22:25: Et du coup, cette suite, cette suite tant attendue qu'arrive début décembre avec encore plus d'animatroniques, encore plus de clin d'oeil aux fans.

00:22:32: Du coup, c'est hyper prometteur et Blue Mouse assume totalement.

00:22:36: Ils veulent vraiment faire de Five Nights at Freddy's une véritable saga.

00:22:40: Ce qui est beau, c'est que ça montre qu'ils savent encore parler à un public jeune.

00:22:43: connecté, qui va avoir peur, mais ensemble et surtout, il les respecte.

00:22:46: Voilà, et donc Five Nights at Freddy's II, ça se déroule un an après les événements du premier, des événements dramatiques qui se sont déroulés dans le restaurant et qui sont devenus en fait une sorte de légende urbaine locale.

00:22:57: Personne sait véritablement le vrai du faux, tout a été un petit peu déformé, mais lorsque Abby, la petite sœur de Mike, qu'on découvrait tous les deux dans le premier film, cherche à reprendre contact avec ses amis robots animatroniques, parce qu'elle est devenue pote avec eux, elle va déclencher une nouvelle série de drames et de révélations terrifiantes quant à l'origine de la pizza et à Freddy's.

00:23:19: Théry, si je me souviens bien, t'avais adoré...

00:23:22: Adorez

00:23:23: le premier film

00:23:24: !

00:23:24: Tu dois

00:23:25: être vraiment ravie que ça revienne

00:23:26: !

00:23:26: Mais là, j'avais vraiment super kiffé !

00:23:29: J'avais tenté de survivre avec dignité, c'était n'importe quoi !

00:23:34: Globalement, c'est vrai que j'avais encore été assez surpris par le film parce que je m'attendais à regretter d'être vivant.

00:23:40: Mais finalement, j'avais trouvé ça malin, j'avais trouvé ça bien rythmé, c'était une vraie ambiance.

00:23:46: Alors là, pour le deux, je sens qu'ils ont compris ce que les gens avaient aimé à savoir.

00:23:51: personnage des animatronics, ce mélange de nostalgie et d'angoisse.

00:23:55: Alors j'aime bien le fait que l'ambiance sorte un petit peu de la pizzeria.

00:23:58: parce que globalement, c'était un peu claustro,

00:24:01: donc

00:24:02: j'avais souffert.

00:24:03: Et donc là, je me dis, bon, au moins on pourra un petit peu respirer, ce qui n'empêchera pas que ce soit quand même... C'est

00:24:07: drôle que ça te plaise cet aspect, parce qu'avant, on pouvait se dire, oh, je vais

00:24:10: sortir de

00:24:10: la pizzeria,

00:24:10: quand

00:24:11: je m'en refini.

00:24:12: Là,

00:24:12: ils peuvent venir chez toi, là, en vrai.

00:24:14: Pourquoi

00:24:14: tu veux me mettre des séparés dans ma tête, tu sais d'accord ?

00:24:16: Non, moi, je me dis juste qu'au moins, visuellement, il y a de l'air, il y a des arbres, je vais me concentrer sur autre chose.

00:24:22: Donc je me dis que ça a l'air contrasté, il y a un côté un peu, voilà, clair obscur, il y a un mont... qui joue beaucoup avec le hors champ et c'est un petit peu le principe du jeu vidéo.

00:24:31: finalement parce que voilà tu les vois pas vraiment c'est quand tu te retournes qu'il y a du mouvement.

00:24:34: quoi donc moi je trouve que c'est cool le sound design a l'air voilà ultra soigné le bruit métallique des robots le grincement les respirations dans le noir ça te met voilà dans un dans un état d'alerte permanent.

00:24:46: et le pire c'est qu'en fait c'est ça qui est fou c'est que ce sont même pas des monstres surnaturels des trucs trop moches et tout même qu'on a pu voir dans black phone.

00:24:53: deux quelque chose de vraiment très très lait.

00:24:55: non c'est des robots peluches.

00:24:58: Et finalement, il y a un côté qui te dit, oh là là, c'est un peu ridicule, tu sais, dans ton cerveau, tu dis, oh là là, c'est un peu drôle.

00:25:03: Et puis il y a une autre partie de ton cerveau qui est en train de te dire, il faut que tu partes ici en courant.

00:25:06: Et moi, je ne sais pas, je serai un petit peu entre les deux.

00:25:08: Five Nights at Feliz II, ça arrive donc deux ans après le premier film qui a été, comme tu le disais, Marie, un très très gros succès, surtout porté principalement par le jeune public, des jeunes ados.

00:25:18: J'imagine que c'est parce que la saga de jeux vidéo est surtout populaire auprès des jeunes, Marie.

00:25:22: Mais oui, mais comme on se le disait, cette franchise compte aujourd'hui huit jeux principaux.

00:25:28: C'est un tout petit jeu d'un seul créateur.

00:25:30: Aujourd'hui, c'est un grand univers étendu.

00:25:32: Un total estimé à plus de trente millions d'exemplaires vendus dans le monde.

00:25:36: Sur YouTube, c'est quand même l'univers le plus populaire de l'histoire du gaming.

00:25:40: Il y a plus de quatre-hain milliard de vues cumulées sur les vidéos liées à Five Nights and Freddy's.

00:25:44: Alors avec ce nouvel opus qui est toujours réalisé par Emma Tarry et toujours cosénarisé par le créateur des jeux, Scott Cawthon, Five Nights at Freddy's II va proposer une histoire plus ambitieuse dans un cadre effectivement plus large.

00:25:55: avec les monstres mécaniques qui vont sortir de la pizzeria.

00:25:58: et puis côté casting ça s'enrichit aussi pas mal avec d'abord Megan Fox habitué du genre horrifique révélé dans Johnny Fersbody un film que je recommande à tout le monde et surtout Skeet Ulrich qui va retrouver son ancien partenaire de crime Mathieu Lillard qui jouait le rôle du méchant dans le premier Five Nights.

00:26:15: Skeet Ulrich c'est un acteur culte pour des générations de fans d'horreur sur tout ce des années nineties, puisque au côté de Mathieu Lillard, qui jouait le rôle de Billy Loomis, l'un des deux tueurs du tout premier Scream, Lillard jouait son binôme, bref ce sont des retrouvailles qui vont enrichir plus d'une et plus d'un et apporter au film un vrai cachet Nineties qui cravait déjà les yeux dans le premier film.

00:26:40: Donc voilà, on a très très hâte, on vous recommande déjà de Black Phone II et puis ensuite vous enchaînerai avec Five Nights.

00:26:49: C'est la fin de cette émission, merci de nous avoir écouté.

00:26:53: On souhaite un excellent anniversaire à Bloom House Fuyo et on espère encore autant d'années à venir avec des révélations, des réalisateurs, des réalisatrices, des films, des franchises, des sagas.

00:27:04: On veut tout, sauf Terri, mais les mariés et moi, on est prêts

00:27:08: à bien... J'aime bien, j'aime bien dans

00:27:10: un temps.

00:27:11: En tout cas, Blue Mouse, nous font bien manger depuis des années, on espère que ça va continuer.

00:27:16: Merci Marie, merci Théry, d'être votre matin pour parler de ça avec nous.

00:27:21: Et puis on se retrouve très bientôt pour parler peut-être d'une

00:27:24: autre suite.

00:27:25: des plus attendus de cette année.

00:27:28: Ça va chanter.

00:27:30: Ça

00:27:30: fait pas peur.

00:27:31: On peut dire de quoi il s'agit.

00:27:35: Il s'agit de Wicked

00:27:36: II.

00:27:38: Vous avez été nombreuses et nombreux à être très séduits par la proposition du premier.

00:27:42: On a hâte de voir la conclusion de cette histoire.

00:27:46: On se retrouve très bientôt pour en parler dans le Breakfast Ciné-Club.

00:27:48: D'ici là, allez au cinéma avec vos amis et votre famille, ou tout seul, ou tout seul.

00:27:54: Tchao !

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